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Publications
en Éducation Permanente

DéFI

Vue d'ensemble

Les femmes ne sont que peu présentes au sein du programme de DéFI. Le sujet n’est pas transversal et les points qui abordent les thématiques de genre sont généralement couplés à d’autres discriminations (comme les racismes ou l’homophobie), ces vécus étant regroupés et abordés de la même manière. Notons que nous trouvons principalement les thématiques liées aux femmes au sein d’une partie sur la laïcité - qui est selon eux la clé du vivre-ensemble, de l’égalité et de l’universalisme.

DéFI fait mention d’une nécessité à sensibiliser contre les stéréotypes et les discriminations, mais regroupe pratiquement toujours ceux-ci ensemble, sans développer les spécificités de chacun. Le parti développe ainsi très peu de propositions à propos des stéréotypes de genre et de la représentation des femmes. DéFi ne mentionne pas l’EVRAS.

En ce qui concerne la lutte contre les inégalités de genre, si DéFI a quelques propositions qui visent à renforcer la sécurité sociale et les services publics (notamment dans une volonté de (re)fédéraliser), d’autres affaibliraient ces biens communs. Par exemple, le parti souhaite baisser les cotisations patronales ou modifier notre système de pension afin d’en faire un “fond pension” géré par l’Etat. Notons que le parti ne se prononce pas sur le type d’emploi souhaité, mais propose un “service citoyen”, ce qui ne nous semble pas aller vers la création d’emplois pérennes. Le parti, comme tous les partis à l’exception du MR, est pour la fin du statut cohabitant et mentionne quelques propositions pour lutter contre les inégalités genrées salariales. Par contre, le parti ne mentionne pas les plus basses pensions des femmes.

Le parti a très peu de propositions qui visent à concilier vie privée et vie professionnelle et leurs propositions à ce sujet concernent principalement les indépendant-es. DéFI est le seul parti qui ne mentionne pas les crèches. À l'instar des autres partis à l’exception du MR, le parti souhaite allonger le congé de paternité et l’aligner sur celui de maternité. En ce qui concerne les mobilités, DéFI, comme les autres partis, n'en développe pas une approche genrée. Le parti souhaite développer des alternatives “suffisantes et crédibles” et mentionne partir des besoins des gens, néanmoins certaines propositions sanctionneraient les plus précaires. Dans sa partie sur la sécurité, le parti propose de développer une approche genrée des espaces publics et propose, notamment, d’installer des toilettes publiques.

DéFI ne développe pas une approche genrée de la santé et ne mentionne pas la contraception. Le parti souhaite allonger la durée possible de l’IVG. Il mentionne les demandes des féministes pour supprimer le délai de réflexion et la dépénalisation.

Ajoutons que le parti ne mentionne que très peu le travail du secteur associatif et la seule proposition ciblant ce secteur va dans le sens du contrôle de celui-ci.

En ce qui concerne la lutte contre les violences faites aux femmes, DéFI ne développe que peu de propositions. Le parti est le seul à ne mentionner ni les CPVS, ni une volonté de créer plus de places d’hébergement pour les victimes. Pour le domaine de la justice, DéFI souhaite lui donner plus de moyens et la rendre plus rapide et plus efficace. Si le parti note une volonté d’une meilleure prise en charge des victimes au sein du système judiciaire, il ne développe pratiquement pas d’analyse spécifique aux victimes de violences sexistes.

Déconstruction des stéréotypes de genre

Lorsque DéFI fait mention des stéréotypes et préjugés sexistes, c’est pratiquement constamment couplé à d’autres stéréotypes. Ainsi, le parti suggère une lutte non différenciée et ne spécifie pas (ou très peu) les particularités de chacune de ces discriminations. La lecture du programme donne la sensation que le sexisme fait partie d’un fourre-tout contre lequel il faut lutter avec quelques solutions générales.

Dans ce cadre, le parti souhaite sensibiliser la population aux différentes lois anti-discrimination, lutter contre toutes les discriminations dans les structures sportives, sensibiliser et former les enseignant-es aux différentes discriminations. En ce qui concerne particulièrement les femmes, DéFI souhaite la parité hommes/femmes au sein de la Cour Constitutionnelle, l’application de la tirette sur toutes les listes électorales à tous les niveaux de pouvoir, ainsi que développer l’entreprenariat féminin.

Au sein de l’école, perçue comme le lieu idéal pour lutter contre les discriminations, DéFI propose d’instaurer 2 heures de philosophie et citoyenneté dans tous les réseaux et souhaite que ces cours abordent, entre autres sujets “la lutte contre les discriminations, l’égalité et le consentement”. Le parti souhaite également “développer un plan d’actions dans les écoles afin de soutenir et accompagner les victimes de racisme, d’antisémitisme et de discrimination, et outiller les directions, professeurs et éducateurs afin de réagir à ces problèmes de manière appropriée”.

Notons que DéFi ne souhaite autoriser les signes confessionnels ni dans la fonction publique, ni à l’école.

Evras

DéFI ne mentionne pas l’EVRAS (ni un processus similaire). 

Autonomie financière des femmes

Certaines propositions du parti nous questionnent en termes de sécurité financière. Par exemple, DéFI souhaite instaurer un service citoyen pour les 18-25 ans rémunéré à hauteur de 500 euros par mois. Si le parti propose de comptabiliser ce travail dans le calcul de la pension, cela nous questionne sur le type d’emplois prôné étant donné la faible rémunération et la non pérennité de ces emplois. Le parti ne se prononce d’ailleurs pas à propos des emplois “atypiques”.

Ajoutons que le parti souhaite augmenter le loyer et limiter le bail des logements sociaux à 9 ans, plutôt qu'en construire de nouveaux. 


Statut cohabitant

DéFI, comme tous les autres partis à l’exception du MR, est pour tendre vers une individualisation progressive des droits sociaux et la fin du statut cohabitant.

Pension

Le parti n’est pas opposé au fait de travailler plus longtemps, mais spécifie vouloir le faire dans de meilleures conditions. Il n’y a pas de mention par rapport aux pensions, plus basses, des femmes.

Egalité salariale

DéFI souhaite lutter contre toutes les discriminations à l’emploi via la sensibilisation et la formation des employeuses/eurs, la mise en place d’une RH spécialisée sur les discriminations dans les entreprises de plus de 250 employé-es, l’amélioration du processus de reconnaissance des compétences, la mise en place d’enquêtes scientifiques et de tests pour mesurer la discrimination, ainsi que le mise en place de plans “diversité” dans les services publics.

Services publics et sécurité sociale

Certaines propositions de DéFi nous semblent bienvenues pour le renforcement de la sécurité sociale. Par exemple, le parti, qui tient particulièrement au fédéralisme, souhaite refédéraliser la santé, la sécurité sociale - et le consacrer dans la constitution - ainsi que les matières liées aux luttes contre la pauvreté, par exemple en finançant 100% du RIS par le fédéral. DéFi souhaite réinvestir de l’argent public dans la santé publique et la protection sociale. Le parti note également vouloir laisser tomber la suppression dans le temps de l’allocation d’insertion et se prononce également pour l’automaticité des droits sociaux, ainsi que pour la création d'une nouvelle branche à la sécurité sociale permettant une “couverture d’autonomie” pour les personnes âgées et en situation de handicap.

Néanmoins, malgré ces quelques propositions, d’autres nous alarment sur les répercussions que cela pourrait avoir sur les services publics ou la sécurité sociale. Par exemple, dans une volonté de “libérer l’esprit d’entreprendre”, DéFI souhaite développer des interactions entre les entreprises et l’école ainsi qu’“adapter l’offre de formation professionnelle en fonction des besoins des entreprises”. Le parti souhaite également sortir d’une gestion publique des logements sociaux et tendre vers une gestion en partenariat public-privé. Nous sommes également inquiètes de la proposition de créer un fond pension géré par l’Etat qui viserait à compléter la pension et qui serait “financé par une capitalisation collective obligatoire”. Ce fonds serait investi par l’Etat “en recourant à des placements financiers et sur le marché immobilier”. Notons que DéFI ne s’oppose pas à la régression des allocations de chômage dans le temps, bien que le parti précise que celles-ci ne doivent jamais passer en dessous d'un certain seuil. Ajoutons que le parti est généralement plutôt pour baisser les différents taux d’imposition, notamment les cotisations patronales.

Dans ce contexte, nous nous questionnons sur les volontés du parti qui mentionne vouloir créer un “bouclier social” à 1300 euros par mois qui remplacerait toutes les autres allocations, bien qu’ils précisent que ce bouclier serait à l’opposé de l’allocation universelle considérée comme le “serpent de mer du néolibéralisme”. Il en est de même pour leurs propositions de “dépolitiser” les services publics. Notons que le parti affirme néanmoins son attachement au statut statutaire plutôt que contractuel. 

Double journée des femmes

DéFI souhaite s’inspirer du modèle suédois via la mise en place d'un “temps de parentalité” obligatoire et d’une durée égale pour les deux parents. Ce temps équivaudrait à 15 semaines “à prendre durant les six premiers mois pour ce qui concerne le père. Pour la mère, les règles relatives au congé prénatal et postnatal ne changent pas”. Le parti souhaite que ce temps parental ait un revenu de remplacement suffisant.

DéFI mentionne la difficulté à concilier vies privée et professionnelle comme étant un frein à l’entreprenariat féminin et développe des solutions qui visent les indépendantes comme l’amélioration du “statut social des indépendantes, notamment en se penchant

sur l’alignement du congé de maternité et la pension des indépendantes sur ceux des employées”. Le parti ne propose pas de solutions pour les femmes qui ne sont pas indépendantes.  

Crèches

Le parti ne mentionne pas les crèches.

Mamans solos

Le parti ne parle pas des familles monoparentales.

Mobilités et infrastructures publiques

Comme les autres partis, DéFI ne mentionne pas les mobilités quotidiennes spécifiques des femmes, mais assure vouloir penser les mobilités en partant des besoins des personnes. Le parti souhaite développer différents modes de transport, la mise en place d’alternatives “suffisantes et crédibles”, généraliser le covoiturage entre parents, développer plus de transports en commun et prône la coexistence entre les différents modes de transport. Le parti mentionne vouloir y intégrer activement les PMR, notamment en renforçant les taxibus pour celles-ci.

Notons que certaines propositions du parti sanctionneraient les plus précaires, comme la volonté d’un modèle de tarification kilométrique qui pénaliserait les mauvaises utilisations de la voiture : “Les tarifs devraient tenir compte des divers critères comme le nombre de kilomètres parcourus, l’heure, la zone géographique, les performances environnementales et la cylindrée des véhicules”.

En ce qui concerne les espaces publics, DéFI propose, dans son chapitre sur la sécurité, de 

 développer une approche genrée de l’aménagement des espaces publics et propose, par exemple, “l’installation et/ou l’entretien de l’éclairage public dans les rues secondaires ou les parcs, l’installation de toilettes publiques, le développement d’espaces de loisirs ou plaines de jeux pensés pour tous et toutes”.

Santé des femmes

DéFI note vouloir faire de la santé publique une priorité fédérale et vouloir investir dedans. Le parti souhaite “garantir l’accès aux soins de santé pour tous” avec le non paiement du ticket modérateur à partir d’un certain montant, ainsi que via la mise en place de postes médicaux de garde sur l’ensemble du territoire. 

Avec le MR, Défi est le seul parti qui ne développe pas un point spécifique à propos de la santé des femmes.

Contraception

Le parti ne mentionne pas la contraception.

IVG

DéFI note sa volonté de dépénaliser totalement l’IVG, d’allonger le délai légal à 18 semaines, et mentionne les demandes pour “la suppression du délai de réflexion de 6 jours ou celle des peines de prison dont restent menacés les femmes et les médecins”.

Soutien au secteur associatif

DéFI ne fait que très peu mention du monde associatif, si ce n’est à propos de sa réforme de la sécurité sociale où le parti suggère d’organiser celle-ci via la concertation du patronat, des syndicats ainsi que de l’associatif concerné. La seule proposition élaborée qui pourrait concerner le milieu touche à l’inscription souhaitée de la laïcité politique dans la constitution. Le parti mentionne que cela permettrait de “conditionner l’éligibilité d’un candidat aux élections ou la validation des statuts d’une ASBL par le respect des libertés fondamentales et de l’égalité entre hommes et femmes”. Ce qui pose question sur qui décide de ce que cela signifie, notamment de la part d’un parti anti-voile, par exemple. 

Lutte contre les violences faites aux femmes

Défi développe quelques propositions pour lutter contre les violences et pour prendre en compte l’insécurité des femmes et des personnes LGBTQIA+ dans les espaces collectifs. Pour cela, le parti propose des mesures préventives, comme la sensibilisation du personnel de sécurité, ou encore la mise en place d’un-e référent-e de confiance au sein du personnel. DéFI souhaite récompenser ces pratiques par un label “Lieu Sûr”. Sinon, encore une fois, le parti ne développe que peu les spécificités des violences faites aux femmes. Toujours dans une idée un peu “fourre-tout”, il règle la question des violences en suggérant que “Les violences physiques et verbales et les incivilités commises envers les agents des services publics de transports (STIB, TEC, De Lijn, SNCB) ainsi que les passagers doivent faire l’objet d’une attention particulière de la part des pouvoirs publics : soutien psychologique aux victimes, poursuites des auteurs, évaluation des actions de sensibilisation contre les formes de harcèlement, en étant particulièrement attentifs aux jeunes femmes souvent confrontées au sentiment d’insécurité”.  

Police et justice

DéFI souhaite refinancer la police afin de développer une police de proximité. Il mentionne par ailleurs que “le dépôt de plainte au commissariat constitue parfois une violence supplémentaire pour les victimes déjà en état de vulnérabilité extrême” (le parti fait référence à toutes les victimes, pas spécifiquement les victimes de violences faites aux femmes). Il souligne que la démarche peut être perçue comme lourde et aléatoire et propose d’encourager les victimes à porter plainte (ce qui nous semble plutôt léger). 

De même, DéFI souhaite refinancer la justice afin de la rendre plus rapide et efficace. Il vise à intégrer beaucoup plus les victimes dans le processus (le parti fait à nouveau mention de l’ensemble des victimes, sans mention particulière pour les femmes), en précisant que cela ne doit pas remettre en question la présomption d’innocence.

Le seul point que DéFI développe à propos des violences spécifiques faites aux femmes est la proposition de “la mise à disposition systématique et immédiate d’un avocat spécialisé en matière de mœurs aux victimes de violences sexuelles lors du dépôt de leur plainte pour les cas de flagrant délit, c’est-à-dire pour les cas de violences sexuelles dont les faits remontent à moins d’un mois. Pour les autres cas, la victime doit pouvoir être libre de recourir ou non à un avocat. De même, la charge de la preuve en matière de violences sexuelles est un parcours du combattant au bout duquel peu de victimes parviennent aujourd’hui. Dans un souci d’efficacité, DéFI propose d’assurer que toutes les instructions en la matière soient menées par des magistrats ayant reçu des formations spécifiques en la matière, dont les connaissances scientifiques et sociales”. DéFI mentionne également vouloir agir contre les violences intrafamiliales et propose de se concentrer sur la protection des enfants. Le parti souhaite la mise en place “d’équipes mobiles spécialisées dans les violences intrafamiliales”.

DéFI souhaite inscrire le féminicide dans le code pénal, “appelant une peine d’emprisonnement, assortie d’un suivi psychologique , peine à tout le moins équivalente que celle infligée pour assassinat”.

Glossaire

Aliénation parentale : concept pseudo-scientifique selon lequel un-e enfant serait manipulé-e par l’un des parents (le plus souvent la mère) pour haïr l’autre (le père) dans le cas d’une séparation. Une loi contre l’aliénation parentale en Belgique ? 'Non, il faudrait plutôt bannir ce concept' - RTBF Actus

Cellules EVA : Emergency victim assistance. Il s’agit d’une cellule dédiée spécifiquement à l’accueil des victimes de violences sexuelles ou intrafamiliales.

COCOF : Commission Communautaire Française

Convention d’Istanbul : Convention du Conseil de l'Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l'égard des femmes et la violence domestique.

CPAS : Centre Public d’Aide Sociale

CPVS : Centre de Prise en charge des Violences Sexuelles : https://cpvs.belgium.be/fr

STEAM : Science, Technologie, Ingénierie, Art et Mathématiques

EVRAS : Education à la Vie Relationnelle Affective et Sexuelle : https://www.evras.be/

PRAXIS : Association soeur du CVFE qui vise à responsabiliser les auteurs de violences : http://www.asblpraxis.be/

SECAL : Service des Créances Alimentaires

AMU : Aide Médicale Urgente qui permet aux personnes sans papiers d'avoir accès à un minimum de soins de santé.

Logements AIS : Agence Immobilière Sociale : ce sont des partenariats entre des propriétaires de logements privés et les services pulics afin que ces logements deviennent "sociaux", c'est-à-dire destiné aux publics qui peuvent obtenir ces logements et à bas loyers.

Automatisation des droits sociaux : le fait d'automatiquement verser les allocations, revenus, aides, etc qu'une personne est en droit de recevoir, sans qu'elle n'ait à en faire la demande.

VIF : Violences Intra-Familiales.

Doxxing : Abréviation de « dropping dox » qui signifie « fournir des preuves » ou encore « lâcher des infos ». D'une manière générale, le doxing est un acte malveillant utilisé contre des personnes avec lesquelles le cybercriminel est en désaccord ou en mauvais termes. Qu'est-ce que le doxing : est-ce illégal et comment l'éviter ? (kaspersky.fr) 

FWB : Fédération Wallonie-Bruxelles

Gender Budgeting : une application de l’approche intégrée de l’égalité entre les femmes et les hommes dans le processus budgétaire Gender budgeting | Institut pour l'égalité des femmes et des hommes (belgium.be)

Gender Mainstraiming : la (ré)organisation, l’amélioration, l’évolution et l’évaluation des processus de prise de décision, aux fins d’incorporer la perspective de l’égalité entre les femmes et les hommes dans tous les domaines et à tous les niveaux, par les acteurs généralement impliqués dans la mise en place des politiques Gender mainstreaming | Institut pour l'égalité des femmes et des hommes (belgium.be)

Intersectionnel :  notion sociologique qui désigne la manière dont les différentes formes d’oppression comme le racisme, le sexisme, le classisme, le validisme, l’homophobie, la transphobie, et d’autres, s’articulent et se renforcent mutuellement.

IVG : Interruption Volontaire de Grossesse.

PMR : Personnes à Mobilité Réduite

PMS : Centre Psycho-Médico-Sociaux.

Points violets : Lieux "safe" mis en place en Espace, notamment dans les lieux festifs. Ceux-ci permettent de venir déposer, discuter, etc d'une situation sexiste auprès de profesionnel-les.

PSE : Service de Promotion de la Santé à l’Ecole

RIS : Revenu d’Intégration Sociale

SAJ : Service d’Aide à la Jeunesse

SPJ : Service de Protection de la Jeunesse

VFF : Violences Faites aux Femmes.

Victim Blaiming : Fait de mettre la responsabilité d’un crime ou d’un méfait sur sa victime et blâmer celle-ci. Définition de victim blaming | Dictionnaire français (lalanguefrancaise.com)

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